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 (day + eytàn) on ne sépare pas l'inséparable.

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MessageSujet: (day + eytàn) on ne sépare pas l'inséparable.   (day + eytàn) on ne sépare pas l'inséparable. EmptyLun 17 Mar - 18:28


on ne sépare pas l'inséparable.


La fête des morts, Toussaint, approchait à grands pas, et Eytàn n'aimait pas cela. Hécate, la déesse de l'ombre, de la magie et des morts, était évidement à l'apogée de sa puissance ces vingt-quatre heures-là. Le fils d'Hébé sentait sa plus longue et douloureuse crise approcher, et il avait peur, intérieurement. Jamais il ne l'avouerait ouvertement. C'était trahir son secret, se trahir lui-même. De plus, il ne prendrait pas le risque de mettre ses proches en danger. Il savait que si Drizzle ou Samaël étaient au courant de sa malédiction, évidement qu'ils tenteraient de l'aider du mieux qu'ils le pouvaient, l'accompagnant dès la première seconde, lorsqu'un violent mal de tête se déclenchait, jusqu'à le dernière, alors qu'il reprenait doucement ses esprits, découvrant son corps martyrisé, couvert de sang, n'ayant aucun souvenir des quelques heures qui s'étaient écoulées, et pendant lesquelles il était devenu un véritable monstre. C'était ainsi qu'il se voyait, depuis près de deux ans déjà, alors qu'Hécate s'était introduit dans son sommeil. Un dangereux monstre, amnésique et assoiffé de sang. Il savait que sa folie pouvait le conduire au meurtre, qu'il était prit de cannibalisme, et qu'il pouvait sentir la chaire humaine à quelques kilomètres lorsque ses yeux s'assombrissaient, la nuit, et que son âme le désertait. Comme il se sentait faible, vulnérable, dépendant. Il se voyait comme un pion de la déesse, et il avait peur. Oui, peur de tous les crimes qu'il pouvait commettre, s'il manquait de vigilance. Et dans deux semaines, il connaitrait une douleur plus intense, peut-être une crise plus longue, la pire de toutes les nuits déjà vécues. Déjà un mois qu'il n'avait pas vu l'ombre d'une migraine. C'était rare, très rare. Et ça ne laissait présager rien de bon. La fête des morts avait toujours été pour lui une journée très nostalgique, aussi. Depuis que son père était mort, il ne passait pas une journée sans qu'il pense à lui. Et arrivée ce dernier jour d'Octobre, il ne pouvait s'empêcher de s'isoler, de s'enfermer dans sa mélancolie et de penser, penser, penser. Réfléchir, prendre du recul. Au fond, il savait que c'était cela qui lui faisait le plus de mal, que la souffrance puisait de l'énergie et de la puissance dans la pensée, mais d'un certain côté il le voulait, pour continuer à faire vivre l'image de son père dans son esprit. C'était sans compter les nombreuses victimes qu'avaient fait la seconde titanomachie, dont certains amis. Eytàn se souvenait d'une jeune fille, elle s'appelait Ysée, n'avait que seize ans, lorsqu'un partisan du titan lui avait tranché la tête à quelques mètres du bouclé. Fille de Déméter, il l'avait toujours apprécié, peut-être même plus, et sa perte l'avait beaucoup atteint. Elle était si innocente, si fragile, qu'il semblait que rien qu'en la serrant dans ses bras, elle pouvait se briser en des milliers de morceaux, irrécupérable. Qu'une victime parmi tant d'autres, mais selon Eytàn, la mort d'Ysée représentait très bien la cruauté et l'horreur de cette guerre qui serait à jamais gravée dans son esprit.

Non, la fête des morts n'était définitivement pas une journée qu'on pouvait qualifier de joyeuse pour un demi-dieu.

Et si toutefois on pouvait vivre une journée réellement joyeuse, lorsqu'on était la progéniture d'un Olympien, pour l'instant, Eytàn n'avait pas réellement pu bénéficier de ce plaisir. Il avait de très bons amis, il ne pouvait le nier. Drizzle et Samaël étaient les deux personnes qui comptaient le plus à ses yeux, en incluant peut-être Day dans ce cercle très fermé de personnes qui lui étaient vraiment chères, vraiment importantes, et il était clair qu'il pourrait donner sa vie pour les protéger. Mais il y avait toujours cette angoisse, cette culpabilité qui le rongeait, lui comprimait le coeur, le forçait à ne jamais, jamais s'avouer s'être réellement attaché à quelqu'un. Hormis peut-être pour eux trois. Car si, par malheur, il manquait de vigilance, si, par malheur, ils se croisaient au mauvais moment, au mauvais endroit, Eytàn aurait leurs morts sur sa conscience toute sa vie.. Chose qu'il ne pourrait supporter. Allongé sur son lit, Eytàn pensait à toutes ces choses plutôt malheureuses. Il voulait voir Day, sa petite soeur de coeur, et bien plus encore. Il savait qu'elle pourrait lui redonner le sourire, dans n'importe quelle situation. C'était ce qu'il appréciait chez Day, ce dynamisme, cette joie de vivre. Il l'avait lui aussi, d'habitude. Mais aujourd'hui, il ne se sentait pas d'humeur à affronter ces entrainements, ces épées, ces efforts physiques. Aujourd'hui, il ne voulait pas trembler, pas se ridiculiser au terrain d'entrainement, s'attirant les moqueries de ses camarades à cause de son piètre niveau. Certes, Eytàn était un garçon particulièrement populaire et aimé à la colonie, il dégageait de lui sympathie et rigolade, et il avait toujours le sourire aux lèvres. Il cachait ses peines au plus profond de lui, et c'était ce qui le rendait si nostalgique ce matin-là. Il passa sa main sur son visage, se décida à se lever. Aujourd'hui, il irait voir Day. Et il savait où la trouver.

Le bord de mer était un endroit qu'Eytàn avait toujours apprécié. S'il n'était pas particulièrement bon nageur, il aimait l'eau, et particulièrement l'océan. L'écume des vagues venait délicatement mouiller le sable de la page déserte en cette période de l'année, éclaboussant par la même occasion le rocher qui se trouvait à proximité. Vêtu d'un tee-shit à imprimé, et d'un pantalon coloré retroussé, Eytàn fixa l'horizon, et son regard se perdit dans l'étendue bleue azure de l'océan. Le soleil était au plus haut, et il était près d'une heure de laprès-midi. Il avait passé la matinée dans la grande maison aux volets bleues, assistant à un cours de mythologie, comme tous les Samedis matins. Il n'écoutait que rarement lorsque Chiron énumérait les nymphes, récitait des mythes ou rappelait inlassablement les attributs de chaque dieu. Il connaissait déjà cela par coeur, et au fond, ça ne l'intéressait pas vraiment. Quelques instants passèrent, il savait qu'il n'attendrait pas longtemps. Il connaissait la brunette par coeur, et l'appel de l'océan et des créatures marines l'attirait toujours. Fille d'un dieu des eaux, même du côté romain, elle était elle aussi une demi-déesse et c'était ce qui les avait beaucoup rapproché. Elle avait pu lui raconter la vie au Camp Jupiter, à l'autre bout des Etats-Unis, et Eytàn avait été très surpris. Il ne savait pas quoi penser des romains. Ils étaient leurs compères, certes, mais n'allaient-ils pas trop loin dans l'idée militaire d'une légion, n'étaient-ils pas trop stricts ? Il ne les connaissait pas assez pour pouvoir les juger, au contraire de d'autres camarades grecs qui ne se gênaient pas pour chaque jour, les insulter davantage. Il se souvenait encore du feu de camp de l'an passé, qui avait tourné à la catastrophe, puis de cette quête à laquelle il avait participé, en temps qu'ambassadeur de la colonie. Mais là n'était pas l'important. Il entendit des pas s'approcher derrière lui, se retourna et aussitôt, un large sourire s'afficha sur ses lèvres. Day ! S'exclama-t-il, s'approchant de quelques mètres de la jeune brune qui se dirigeait vers lui. Cela faisait déjà quelques semaines qu'ils ne s'étaient pas vus, et il était très heureux de la retrouver. J'étais sûr que tu viendrais. Déclara-t-il malicieusement, non pas peu fier d'avoir vu juste, la serrant dans ses bras. Tu vas bien ? Demanda-t-il en desserrant son étreinte, s'éloignant d'elle.
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MessageSujet: Re: (day + eytàn) on ne sépare pas l'inséparable.   (day + eytàn) on ne sépare pas l'inséparable. EmptySam 5 Avr - 15:22

J'étais contente. Pourtant j'avais passé une des pires nuits depuis que j'avais été maudite, et en plus de mes rêves habituels de mort précoce face à mon "grand ennemi", j'avais rêve que le D.L.C.E.M. venait de tuer Kathie et Jo'. C'était sanglant. J'étais seule. J'étais seule, avec ma colère, ma tristesse et ma rancune, qui me submergeaient complètement. Je m'étais réveillée, les larmes aux yeux, le vague à l'âme. Je m'étais rendue compte à quel point la vie des êtres qui m'étaient chers était fragile, à quel point ils pourraient disparaître rapidement. Je m'étais fait un thé, j'avais sorti des schtroumpfs, mon carnet de dessin et crayon  la main, et, assise en tailleur sur le canapé, j'avais dessiné toute la nuit. Je n'étais pas indécise pour une fois. Je savais ce que je voulais représenter, chaque idée, chaque sentiment était clair dans mon esprit, comme lorsque je me baignais. Mais dès que je levais le crayon, tout s'assombrissait, comme si un épais brouillard venait envahir mes idées. J'avais réalisé plusieurs croquis préparatoires et avais fini par une aquarelle. Après quoi le soleil s'était levé, en quasi-parfaite harmonie avec mon grand-frère. J'avais débarrassé mes affaires et avais pris mon petit déjeuner, tandis que Kathie émergeait lentement mais surement de son sommeil. Je préparai le petit déjeuner avec des gestes rapides, vifs et précis, contrairement à ma famille, encore ensommeillée. Je mangeais rapidement. Une idée plaisante venait de traverser mon esprit. Une bonne idée. Je mis mes couverts et mon bol vide au lave-vaisselle et m'enfermai dans ma chambre pour me préparer. Maillot de bain ? Check. Combi ? Check. Planche ? … Planche ?! Oh mes dieux, où est cette fichue planche de surf ? Où je l'ai rangée la dernière fois que je suis allée jouer dans l'eau avec ? Je me mets à chercher partout dans ma chambre. Pourtant elle est grande, ça passe pas inaperçu ce genre de choses... Mais oui ! Sous le lit pour pas qu'elle prenne trop d'espace !  Donnez-moi une corde, s'il vous plaît je crains énormément là. Je jette un coup d'oeil à l'heure. Il est même pas sept heures du matin, je vais pas tarder à y aller. Je sais bien qu”on est bientôt en hiver et qu'il n'y aura sûrement pas grand monde, mais il n'empêche, j'préfère y aller tôt quand il y a absolument personne. Je m'habille par-dessus ma combinaison, je prends ma planche, un sac avec une serviette de plage et dépose un baiser sur la joue de Kathie, puis de mon frère. Je prends mes clefs, et sort de l'appartement, ma planche sous le bras. Heureusement, nous n'habitons pas très loin du bord de mer, ça c'est cool.

J'débarque à la plage, pose ma planche sur le sable, et retire mes vêtements de ville, pour me retrouver en combinaison. Je pose mes affaires sur les rochers et regarde la mer. Il y a des vagues aujourd'hui, ils avaient prévu. C'est cool. J'adore surfer, même si l'idée de tomber me paralyse un peu. Une fois que je glisse au milieu de l'eau, ça ne m'effleure même pas. Je fixe l'horizon, un demi-sourire aux lèvres, prends ma planche et avance doucement. Je bloque mes pensées désormais. Les bancs de poissons sont nombreux, apportant avec eux leur flot de paroles. La faune maritime est bruyante pour celui qui a le don de l'écouter. Cela peut vite donner des maux de têtes aux demis-dieux ayant le même pouvoir que moi, ou du moins, tant qu'ils n'ont pas appris à le  bloquer. Bien sûr, ce ne sera jamais aussi silencieux qu'un humain le percevrait, mais c'est tout de même mieux. Oh, une vague ! Je la prends, me relève à la dernière seconde et glisse un loing moment, les genoux fléchis, les embruns salés fouettant mon visage, mes cheveux s'envolant derrière, moi, et cette sensation de liberté absolue qui s'empare de mon cœur et de mon esprit. Et c'est ainsi que se déroule ma matinée. Dans l'eau, sur ma planche, avec la visite de mon dauphin, de temps à autre. Et puis midi arrive plus vite que je ne l'aurais pensé. J'ai faim, oui, c'est vrai, mais je rechigne à sortir de l'océan. Je m'y sens calme et sereine à partir du moment où ma bouche et mon nez sont hors de l'eau. Depuis ma planche, je rame tranquillement vers le bord de mer. Je sors de l'eau fraîche et retire ma combinaison. Je me sèche rapidement, et me rhabille, prête à aller manger, gardant mes chaussures à la main. Il doit être une heure de l'après-midi. Je ne sais pas trop où aller, l'océan m'appelle encore. Si la faim ne me tenaillait pas autant, je me serais jeté dans les bras accueillants des vagues, avec ou sans planche, peu m'importe. Je remets mes chaussures, sèche un peu mes cheveux, qui restent néanmoins imprégné de l'odeur des embruns et un peu humides malgré tout. Je commence à partir, et distingue une silhouette, au loin. Un pantalon coloré, des cheveux bouclés (une tignasse impossible à coiffer, faites moi confiance j'ai déjà essayé de la dompter), un air un petit peu las, même de dos. Je le reconnais. Reposant mes affaires à leur place habituelle, je fais un détour et m'approche le plus discrètement possile. J'vous ai déjà dit que la discrétion n'est pas mon point fort ? Oui, certainement. Il m'entend et se retourne. Bon, bah, pour l'effet de surprise on repassera, hein. En tout cas il a l'air content de me voir. Day ! Il se rapproche et me serre dans les bras, me disant qu'il était sûr que je viendrais. On se connaît plutôt bien. Il devait se douter que par un temps pareil, en samedi, je viendrais ici. N'importe qui me connaissant un peu le sait. Mais lui sait même où j'aime venir et ça c'est pas donné à tout le monde. Ce lieu, je le garde très secret, j'aime pas devoir partager mon espace marin. Mais Eytàn, je lui fais confiance. De toute manière, je peux très difficilement quoi que ce soit. Et puis j'aime bien quand il vient ici. On est seuls, tranquilles, et on peut se raconter n'importe quoi. C'est aussi mon frère, même si y a un certain nombre de paramètres qui font que je ne peux pas tout à fait me lâcher avec lui. Genre Jonathan. Je sais qu'il veut me protéger ; je sais qu'il veut m'empêcher d'être triste et de pleurer. Et qu'il a Eytàn à l'oeil. Même s'ils restent respectueux l'un de l'autre, ils ont une certaine facilité à se détester cordialement. Enfin. Il me serre dans ses bras. Je peux sentir son odeur me chatouiller les narines, comme un esprit espiègle, comme Eytàn. Il se décale et je me plonge dans son regard brun. Et ce que j'y vois ne me plaît pas. Mais alors ne me plaît pas du tout. De la peur, de la nostalgie et beaucoup, beaucoup trop de tristesse. Il me demande si je vais bien. Un goût amer emplit ma bouche. J'irais mieux quand tu iras mieux. Je comprends désormais la raison de sa venue. Il veut que je lui remonte le moral. Bien. Alors j'espère que Somnus lui a fait cadeau d'un bon sommeil la nuit dernière parce qu'il va en baver.Et au fait, si t'as de quoi manger, j'suis pas contre. Surtout un truc avec du sucre.Le sucre m'aide à réfléchir, et le temps que je mange je pourrais en profiter pour inventer un plan démoniaque. Et j'ai déjà une idée. Il va souffrir d'être malheureux. Et pas dans le sens que vous croyez. Je ne supporte pas la tristesse, ou du moins pas la sienne. J'esquisse un sourire en coin qui devrait l'alarmer s'il me connaît un tant soit peu.
Je m'approche de lui, avec ce même sourire et le force à reculer, droit vers la mer. Déjà les vagues viennent caresser mes pieds nus, et quand il m'arrivent à mi-mollet, mon sourire se fait plus grand et plus espiègle. Et je le pousse à l'eau sans aucune honte, sans aucune vergogne. Je sais que sa vengeance va être terrible. Plus que terrible, même. Et je m'attends à tout. Mais il ne me fera pas de mal, je le sais,je lui fais confiance. Il n'en est pas capable. Mes yeux se plissent et mon esprit se prépare à toute éventualité. Je suis campée sur mes appuis, prête à fuir au moindre signe d'attaque de chatouilles, prête à me dégager s'il tente de me faire tomber également. Les vagues viennent caresser ses pommettes, et j'attends de voir sur ses lèvres se former un sourire et dans ses yeux pétiller de nouveau la joie de vivre. Une joie de vivre sincère, qui viendrait effacer cette mélancolie que je lis aujourd'hui, comme la mer vient effacer les dessins laissés par les enfants dans le sable.
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