Elle s’était bêtement dit qu’à l’extérieur de la barrière magique du camp, elle aurait sûrement moins de soucis. Elle en connaissait pourtant plein des cachets pour fumer tranquille, même autre chose que des cigarettes comme là. D’habitude, elle était aussi au camp à part de temps en temps pendant ses longs séjours à la Colonie. Elle allait payer ses affront aux règles et son irresponsabilité plus poussé depuis les problèmes avec les mortels qu’on ne savait nommer. A peine ses produits illicites allumé d’un coup de briquet insistant car pratiquement vide qu’elle dut se résoudre à jeter le tout. Ou presque. La fumée s’évapora dans les airs, montant lentement tout comme l’ombre du cyclope qui arrivait derrière elle et lui cachait le si agréable soleil. Elle se retourna et resta interdite. La bouche grande ouverte, elle n’hésita pas longtemps à l’attitude à adopter. En évitant la grosse paluche du monstre qui tenta de l’attraper, elle l’esquiva d’une roulade avant de courir. Courir en s’éloignant du camp. D’un elle n’avait pas le sens de l’orientation et de deux c’était ne technique de hockey : s’éloigner (dans un grand arc de cercle) et revenir. Sauf qu’elle ne glissait pas sur la glace et ensuite ce n’était pas de simple joueurs entre lesquels elle devait se faufiler. Au mieux elle avait des jambes de mastodonte entre lesquelles slalomer, mais tout comme avec un éléphant on évitait de se balancer entre les pattes d’un cyclope. Elle n’arriva pas à retourner vers le camps, et rapidement elle ne connaissait plus sa position exacte dans son état d’angoisse. Seul le souffle rauque et affame du monstre résonnaient dans la forêt dans sa tête comme ses lourds pas qui faisaient trembler le sol.

Un chassé et elle changeait subitement de direction, et encore, freinait et repartait dans l’autre sens. Elle avait essayé de gagner de la distance et du temps en jouant sur la lourdeur pataude du cyclope contre son agilité de petite demi-déesse sportive. Sportive peut-être, mais rapidement, ses muscles la brulaient et étaient si tirés qu’ils donnaient l’impression d’être prêt à exploser. Elle avait bien sûr eut la bonne idée d’apporter sa cross avec elle. C’était toujours ça en dernier recours. Faire face quand il n’avait pas seulement suffit de semer la pachyderme. Son souffle se coupait et elle n’arrivait presque plus à inspirer assez d’oxygène. Une pointe lui sciait le ventre. Soudain le terrain remontait et plongeait dans un faussé qui bordait la route. Elle s’élança dans un dernier effort et son pied se prit sur la bute. Elle roula sur le goudron deux à trois fois, avant de se relever aussi vite qu’elle le put, sonnée. Titubante, elle retrouva vite sa vitesse de course, ses poumons qui lui irradiait toute la poitrine.

Soudain, elle pensait avoir eu une bonne idée. Une grotte, bien sûr ! Qu’elle idée. Coursée par un cyclope, elle se réfugiait dans une grotte. Elle n’avait pas assez bien révisé les cours de bestiaires. Elle se réfugia entre un creux étroits de roches immenses qui bordait une des parois de la grotte. Elle se retenait pour ne pas faire de bruit mais sa respiration était sifflante. Pourquoi je ne dois pas mourir maintenant ? Parce que je veux mourir en regardant des aurores boréales. Parce que j’adore la chantilly. Parce que je veux voir la dernière saison de Downton Abbey. fit-elle l’exercice psychologique pour se calmer et se concentrer que lui avait conseiller Lilly. Elle devait trouver trois choses pour lesquels elle ne voulait pas mourir maintenant. Ca pouvait être tout et n’importe quoi. Il fallait juste que son esprit ne se préoccupe plus de sa panique. Sa bouche mimait les paroles sans un bruit. L’odeur était infecte dans ce trou. C’était alors là qu’elle réalisa où elle avait sûrement mis les pieds. Elle grimaça. Si seulement sa raison pouvait gifler sa bêtise. Elle s’en mordit le poing et avait juste envie de pleurer. Y’en. A. Marre ! Si elle finissait dévorer en cette belle après-midi, ce serait simplement parce qu’elle n’était qu’une idiote irresponsable. Vite, il fallait qu’elle réfléchisse. Observer la grotte pour commencé. Bah on y voyait pas grand chose. Il aurait pu mettre des fenêtres quand même ! pensa t-elle avec ironie, ne sachant pas encore qu’il n’était pas le seul dans la grotte.

Alaska le sentait approcher toujours un peu plus, plongeant la grotte dans la pénombre, sa masse qui entravait l’ouverture vers l’extérieur. Derrière son bras de roche, elle était bien caché, jusqu’à ce que le cyclope décide de s’approcher toujours plus. Il fallait qu’elle bouge et vite. Après un moment à regarder ici et là, elle se faufila en vitesse vers un autre agrégas de roche à deux mètres. C’est au même moment qu’elle remarqua une silhouette plus menue à l’entrée de la grotte. Elle jeta un dernier coup d’oeil, au cyclope pour le situer. Elle pouvait se permettre de prendre un peu le temps, tant qu’elle ne faisait pas trop de bruit. Puis elle se cacha, pour réfléchir, en se massant les temps. C’est alors qu’elle vit une carcasse de chèvre qui devait dater de quelques jours. La bête devait en partie expliquer l’odeur. Soudain, une idée lui vint. Elle essaya sans bruit d’arracher un bout de pate avec le peu de viande et de peau qui restait dessus et se le tartina avec dégoût sur les bras et les vêtements. Très légèrement sur le cou aussi, mais bon fallait pas poussé mémé dans les orties. Ce truc ne s’approcherait pas plus de son visage. Bon déjà, elle atténuait l’odeur. Après tout, c’était une demi-déesse qu’il cherchait pas une chèvre morte et faisandée. Puis tenant le fémur et un morceau de cuisse encore accroché à lors, la demoiselle préféra le garder en main. Ca pouvait toujours servir. Elle inspira profondément et tenta de se pencher plusieurs fois pour mieux voir comment se présentait la grotte et se rapprocher de l’autre personne à son échelle. Bien sûr en sauvant ma peau. Mais cette chose qui vient d’entrer peut peut-être m’aider. Alors premier objectif, s’allié pour mieux réussir à sortir.

1 à 3 : Elle vit alors une arrête qui formait comme un étroit passage à un premier étage dans la grotte. Elle s’y risquerait au cas où il se trouverait une autre sortie. En montant, elle ne fait pas de bruit et l’autre cyclope qui l’avait poursuivi, était encore dehors, juste devant la porte à s’acharner sur un buisson. Elle escalada la façade avec facilité grâce à de belles prises, et longea d’un pas léger l’étroite passerelle qui longeait une paroi de roche. Sauf que en arrivant, elle réveilla un des cyclope qui ronflaient à en avaler les mouches qui volaient tout autour. Elle avait trébuché et s’était étalée de tout son long sur sa cuisse flasque et poilues. Alaska se précipite alors que le corps tressautait, en plein réveil. Rapidement un beuglement, et elle s’échappa en prenant les jambes à son cou. Elle glisse le long d’une petite pente, comme un tunnel juste assez grand pour elle qui la fit retourner un niveau plus bas, mais à quelques pas de Dillon, le catapultant contre la paroi d’en face à l’atterrissage. L’autre cyclope qui avait alors surpris Dillon, n’errait plus sans les voir. Pas de panique, elle devait garder son calme. Elle avait eu un objectif, elle l’avait ! A ses pieds ! Elle le rejoignit et lui attrapa fermement le visage. Ses yeux verts dardaient les siens et elle se concentra pour activer son pouvoir de charisme : « Ecoute Obi-wan, fit-elle comme une formule pour se ressaisir, tu vas fermer ta gueule pendant que je parles et tu écoutes » chuchota t-elle, avant de se redresser rapidement pour observer les menaces, puis se baissa de nouveau : « ma vie est ta priorité… Tu feras tout pour me garder en vie. C’est bon, couché. » lui tapota t-elle l’épaule. Puis elle se mit à courir sans lâcher le vêtement de son partenaire qu’elle avait justement sur la main lorsqu’elle lui avait tapoté l’épaule. L’autre cyclope dehors allait arriver aussi.

4 à 5 :  Elle profita alors que l’autre cyclope s’occupe dehors, juste devant la grotte pour tenter de rejoindre cette silhouette humanoïdes qu’elle avait aperçut. Sautant dans l’ombre d’un rocher à l’autre puis, tel une ombre elle-même. Elle grimaçait à chaque fois qu’elle avait provoqué des bruits inutiles mais qui heureusement ne provoqua pas de remue-ménage dans cet espace fermé. Soudain, une main délicate d’aparence, mais d’une poigne de fer attrapa le bras du jeune homme avant de le tirer derrière un des gros cailloux. Ses yeux verts dardaient les siens et elle se concentra pour activer son pouvoir de charisme : « Ecoute Obi-wan, fit-elle comme une formule pour se ressaisir, tu vas fermer ta gueule pendant que je parles et tu écoutes » chuchota t-elle, avant de se redresser rapidement pour observer les menaces, puis se baissa de nouveau : « ma vie est ta priorité… Tu feras tout pour me garder en vie. C’est bon, couché. » lui tapota t-elle l’épaule avant de s’arrêter de respirer alors que le troisième cyclope qu’elle n’avait pas encore rencontré et que Dillon avait lui découvert. C’est alors qu’il les enjamba presque sans les voir et là Alaska leva la tête. Elle découvrit elle, qu’il ne portait rien sur son pagne : « Aaaah mon dieu ! Aaaah mais non ! Quelle horreur ! C’est dégueulasse ! Je vais vomir… » avait-elle d’abord hurlé sans pouvoir se contrôler, puis après gémit en tremblant de dégoût. Quoiqu’il en fut, elle avait donné leur position, et il valait mieux pour eux qu’ils courent. Elle était complètement tétanisée par la vision.

Bon à première vue, son pouvoir paraissait fonctionner. Il avait l’air d’intercepter le message et n’avait pas dit un mot. Lentement son pouvoir de persuasion s’échappait de la tête et la raison de Dillon, alors qu’ils fuyaient tout les deux pour trouver un endroit où s’abriter. Il fallait juste gagner un peu de temps pour y arriver. Soudain, le frottement de la roche les arrêta dans leur course. Alaska s’était arrêtée, bousculant encore une fois un peu Dillon dans ses précipitations. La lumière s’échappait alors et un voile noir et épais recouvrait la pièce comme un linceul. Le sang de la demi-déesse ne fit qu’un tour. On est dans la merde puis on l’entendit reprendre sa respiration, par une inspiration bruyante. Heureusement, pas assez pour passer au-dessus de leur condamnation qui roulait jusqu’à la sortie la plus évidente et sûrement la seule. Tout comme Dillon, la petite avait hésité à courir et passer dans une fente et espérer ressortir de l’autre côté en un morceau. Sautillant sur ses jambes, elle se ravisa et là son pouls battait la chamade. Elle n’avait plus que pour se repérer son nez qui lui informait qu’elle puait la mort et qu’elle allait vomir à encore inspirer par le nez. Puis les bruits, ils étaient encore un peu sourds et parfois agressifs. Il fallait qu’elle s’y habitue. Il n’y avait qu’un mince filet de lumière qui pointait comme une lueur un trait s’enfonçant dans le niveau supérieur de la grotte.

Sa main n’avait pas lâché le vêtement de Dillon au niveau de l’emmanchure. Ses ongles avaient presque déchiré le tissus tant elle le serrait. Ce n’était plus pour le diriger, mais de la peur. Elle tremblait presque. Quand je vais raconter ça à Andrew, je lui dirais qu’il m’aurait été bien utile. On aurait passé le rocher sans soucis… On a toujours besoin d’un enfants d’Hermès ou Arès ! Mais pas d’Aphrodite. s’était-elle perdue dans des pensées inutiles comme mécanisme de défense pour ne pas hurler, ni pleurer. Tout ça pour un joint ! Et il fout quoi lui ici bordel !!! Elle sursauta presque lorsqu’elle sentit qu’il y avait du mouvement. Le jeune homme s’était déplacé et baissé pour faire, elle ne savait trop quoi. Tout en le suivant aussi docilement et agilement que possible, ses yeux s’habituaient avec une lente progression à l’obscurité. Elle devinait des formes, les plus grosses et celles s’élevant vers les hauteurs. Des roches, parfois une masse mouvante qui soulevait l’air et empestait.

Ils s’étaient déplacés d’à peine quelques pas, et elle vit la silhouette de l’homme se détacher très faiblement dans la pénombre. Tout ce qu’elle compris, c’était de ne pas faire de bruit. Ca, elle comptait pas le faire de toutes les façons. Ainsi dans l’ombre, ils avaient perdus l’avantage face aux cyclopes, jouant sur un pied d’égalité. Personne n’y voyait rien, sauf que les mastodontes y étaient habitués depuis toujours. Les sens des deux plus petit êtres n’étaient alors pas aussi développés. Le reste elle n’avait rien compris, mais elle avait pas meilleure idée que d’attendre et de voir, alors elle le laissa faire. Qu’il s’occupe, elle en profiterait pour essayer de trouver une illumination en observant encore et toujours la grotte. Une marée de mazout qui vous happait en résumé.

Dillon lança alors le caillou tandis que la jeune-fille tournait la tête. En le jetant, il avait visé un pan de grotte qui était proche et passait juste au-dessus de leur tête. Il rebondit et attérit en plein sur le front de la demi-déesse. Elle se retint de grogner en s’enfonçant les ongles dans la paume des mains. Se retournant brusquement, elle lança son poing par réflexe sur là où devait se trouver le jeune-homme. Son coup rencontra le haut de son bras dur comme du roc et ricocha sur son poitrail tout aussi finement musclé. Son geste automatique qui traduisait sa colère et sa douleur lui fit constater que peut-être il serait temps d’en apprendre plus sur ce parfait étranger qu’elle se trimballait presque depuis l’entrée dans la grotte. L’envie de l’assommer de question la démangeait, mais cela attendrait. Il n’y avait même pas assez de lumière pour les lui écrire.

Sans perdre de temps, car le cyclope qui avait fermé la grotte s’était rapproché d’eux et son odeur était si forte que c’était presque cette dernière qui les avaient poussé à reculer avant même de sentir sa présence les écraser. Ils se retrouvèrent vite contre une paroi que la demoiselle s’osa à longer. Se défaisant de la prise de Dillon, elle lui posa alors la main sur sa propre épaule comme on le ferait pour guider un aveugle. Sauf qu’ils l’étaient un peu tout les deux. Ses pas la menèrent pour l’instant sans embûches alors que sa main gauche effleurait la croute abrupte de la roche.
« Je sentirais presque comme une odeur de demi-dieu » grogna la voix de Gargantua, glaçant le sang de la demoiselle qui se félicita de s’être frotté contre la carcasse pourri de la chèvre. C’est bien de te réveillé maintenant... T’aurais demandé à ton pote dehors avant de fermer la porte... Déjà on aurait pu sortir continuait-elle de divaguer au fond d’elle même pour ne pas paniquer.

lancé #1:

Les deux plus petits se frayaient alors un chemin dans le silence le plus complet et pourtant, elle avait déjà trébuché une à deux fois à cause d’une roche, ou d’un trou sur son passage. Elle en profite alors pour retirer sa crosse tenue par une hanse à son dos. Avec autant de délicatesse, elle retira le fourreau qu’elle rattacha à l’aide de lien en cuir sur le manche de sa lance à la pointe en bronze céleste. Les deux mains cramponnées dessus, elle inspirait et expirait doucement, et avançant à pas de loup. De son autre main, elle tâtonne le mur.

Soudain, elle s’arrêta. On entendait du bruit, mais en plus déjà de l’autre mastodonte qui circulait et errait plus bas. Ce dernier balayait son bras dans l’air, contre les renfoncements de la grotte qu’il connaissait par coeur en ultime espoir de les avoir. Ca aurait pu marcher, mais le duo s’était alors déjà hissé à l’étage sans même vraiment en avoir conscience. Puis le sol trembla, et encore une fois, très légèrement. Alaska s’était arrêté, posant une main sur Dillon en lui écrasant sur le visage sans le vouloir. Promis, j’ai rien vu...

lancé #2:

Sa main restait contre le visage de Dillon, un peu vacillante de peur. C’était sa façon de dire de ne plus bouger. Plus un geste rien et subitement, elle sentit le pas du cyclope se poser tout près d’elle. On pouvait sentir la chaleur de la peau de son mollet venir les fouetter de son odeur putride. Alaska se retint encore une fois de ne pas crier.
« Attention, je vais frapper, baisse toi...» avait-elle chuchoté, attaquant la fraction de seconde qui suivait. Elle s’était autorisé à parler se sachant déjà repérée lorsqu’elle donnerait son coup. La lame de sa lance s’enfonça alors pile sous la cheville du cyclope, transperçant à vif son ligament ce qui le fit hurler de douleur. Un grognement qui fit vibrer la grotte comme si ce n’était qu’un estomac criant famine. Le cyclope tituba un instant pour s’attraper le pied et perdit rapidement l’équilibre pour venir s’écraser plus bas. Ils ne s’en étaient pas débarrasser, mais ils avaient gagné du temps. Un dernier regard par le fin liseré qui contournait la pierre verrouillant la grotte et son dernier espoir s’évanouit lorsqu’elle suivit le faisceau du regard qui s’enfonçait vers un bras large et sombre au fond de la grotte. Les deux cyclopes s’échangèrent quelques mots sans alerter plus la demi-déesse qui avait déjà prévu de ne pas rester là à portée. « Suis moi ! » s’élança t-elle alors vers l’artère obscure et qui n’annonçait rien de bon. Juste avant d’y entrer, elle s’arrêta subitement et obligea de nouveau Dillon à le faire en allongeant simplement son bras. Lorsqu’il se cogna contre, elle profita de l’effet de surprise pour le plaquer sèchement contre le mur. Il était beaucoup plus grand qu’elle (ce qui était facile) mais aussi bien fait.
« Tu as un téléphone portable ? commença t-elle à lui fouiller les poches de son manteau, tout en regardant en direction de la grotte. Si oui, jette le... Maintenant, dépêche toi. » lui avait-elle simplement conseillé avec autorité, sans user de ses pouvoirs. Et il fallait espérer qu’il soit assez intelligent pour me croire et que je n’ai pas à user de « ma voix du Jedi ».

Les voix s’approchaient et les cailloux tintaient en rebondissant sur le sol à chacun de leur pas. Alaska paniquait et finit par le presser en le bousculant avec insolence contre le mur de pierre naturel.
« Fais le, ou c’est moi qui te jette. Tant que t’en auras un sur toi, c’est comme si on se baladait avec un gyrophare. » le menaça t-elle désormais de la pointe de sa lance sous le visage. Elle sautillait toujours, nerveuse, regardant un coup dans le couloir encore inconnu, puis vers l’entrée de la grotte.